27
Mai
Sortie sur les bords du Rhône...
Par Anne-Laure Tézenas du Montcel • Publié le 27/05/2025
Par Anne-Laure Tézenas du Montcel • Publié le 27/05/2025
Grâce au SMIRIL, nous pouvons faire des sorties au bord du Rhône. Cette année, nous travaillons sur les arbres et les oiseaux.
Vendredi 23 mai, la classe de Christine est partie en vadrouille avec Chloé, l'animatrice nature...
Voici le récit des Grands, en dictée à l'adulte :
"Chloé nous a raconté l’histoire du Klupea.
C’est un animal qui ressemble à une baleine. Il a des pattes de canard à l’avant et des pattes de chien à l’arrière. Il a une pierre précieuse et magique sur la tête, une améthyste. Si on lui vole sa pierre, il devient très furieux.
Il a 3 yeux.
Il existe depuis le Moyen-Age.
Il choisit ses couleurs à sa naissance. D’ailleurs, il naît dans un œuf énorme.
L’hiver, il vit dans la Saône, dans la vase. Il traverse la rivière à toute vitesse pour aller jusqu’à Lyon. Après, il va dans le Rhône et ensuite jusqu’à la mer où il pond ses œufs, en été.
Il ne voit pas très clair.
Il mange des sangliers mais pas les humains parce qu’ils ont mauvais goût.
Chloé nous a montré un gros bout de bois où se trouvaient des escargots et des limaces. Elle nous a expliqué que les sangliers mangent les escargots et les limaces. Cela veut dire qu’il y a forcément un klupea au bord du Rhône
Le klupea peut provoquer des inondations s’il se coince sous les ponts.
On peut l'appeler en soufflant dans ses mains à l'aide d'un brin d'herbe.
Pendant notre sortie, on est passé à côté d’un arbre avec plein de trous. Chloé nous a expliqué que si son doigt rentrait dans un trou c’était un trou de pic. Mais si le doigt ne rentre pas, il s’agit d’un coup de dent du klupea qui pensait manger un sanglier.
En chemin, nous avons fabriqué un parfum qui pouvait sentir mauvais pour attirer le klupea ou un parfum qui sentait bon pour le repousser.
Arrivés dans la prairie, nous avons fabriqué un lit, pour le klupea, avec de l’herbe mouillée, des cailloux, des branches et des feuilles qui sentaient mauvais. Ensuite, on a testé ce lit en marchant dessus.
Après, on a fabriqué la peau de klupéa, à sa naissance, en collant plein de choses sur un papier.
Enfin, pour retourner au bus et échapper au klupea, nous avons joué à 1,2,3 Klupea, jeu qui ressemble à 1,2,3 soleil.
Arrivés au parking, nous sommes montés dans le bac et on a appris à souffler dans des herbes pour appeler le klupea.
L’après-midi, en classe, nous avons fait un tableau représentant un klupea."
Vendredi 23 mai, la classe de Christine est partie en vadrouille avec Chloé, l'animatrice nature...
Voici le récit des Grands, en dictée à l'adulte :
"Chloé nous a raconté l’histoire du Klupea.
C’est un animal qui ressemble à une baleine. Il a des pattes de canard à l’avant et des pattes de chien à l’arrière. Il a une pierre précieuse et magique sur la tête, une améthyste. Si on lui vole sa pierre, il devient très furieux.
Il a 3 yeux.
Il existe depuis le Moyen-Age.
Il choisit ses couleurs à sa naissance. D’ailleurs, il naît dans un œuf énorme.
L’hiver, il vit dans la Saône, dans la vase. Il traverse la rivière à toute vitesse pour aller jusqu’à Lyon. Après, il va dans le Rhône et ensuite jusqu’à la mer où il pond ses œufs, en été.
Il ne voit pas très clair.
Il mange des sangliers mais pas les humains parce qu’ils ont mauvais goût.
Chloé nous a montré un gros bout de bois où se trouvaient des escargots et des limaces. Elle nous a expliqué que les sangliers mangent les escargots et les limaces. Cela veut dire qu’il y a forcément un klupea au bord du Rhône
Le klupea peut provoquer des inondations s’il se coince sous les ponts.
On peut l'appeler en soufflant dans ses mains à l'aide d'un brin d'herbe.
Pendant notre sortie, on est passé à côté d’un arbre avec plein de trous. Chloé nous a expliqué que si son doigt rentrait dans un trou c’était un trou de pic. Mais si le doigt ne rentre pas, il s’agit d’un coup de dent du klupea qui pensait manger un sanglier.
En chemin, nous avons fabriqué un parfum qui pouvait sentir mauvais pour attirer le klupea ou un parfum qui sentait bon pour le repousser.
Arrivés dans la prairie, nous avons fabriqué un lit, pour le klupea, avec de l’herbe mouillée, des cailloux, des branches et des feuilles qui sentaient mauvais. Ensuite, on a testé ce lit en marchant dessus.
Après, on a fabriqué la peau de klupéa, à sa naissance, en collant plein de choses sur un papier.
Enfin, pour retourner au bus et échapper au klupea, nous avons joué à 1,2,3 Klupea, jeu qui ressemble à 1,2,3 soleil.
Arrivés au parking, nous sommes montés dans le bac et on a appris à souffler dans des herbes pour appeler le klupea.
L’après-midi, en classe, nous avons fait un tableau représentant un klupea."
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